On tourne la tête et déjà
Les minutes s'empilent,
S'entassent sur les sentiments.
Dans le grenier de mon coeur,
Tu te retrouves enfoui
Parmi d'autres amants,
Parmi d'autres avant,
Parmi les souvenirs et les gens.
Tu es celui qui m'offre des fleurs en 1986
Et aussi à qui j'écris en 1996.
Parfois, tu n'es plus rien,
Plus personne.
Tu es l'ombre d'un souvenir imaginé.
mercredi, juillet 09, 2008
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