Ton souffle sur mes cils embrumés
Protecteur de mes nuits agitées
Je dormais je vivais j’existais
L’éveil brûlure aveuglante
La chair triste et le cœur hagard
Dont on ne se remet pas
Et cette chambre vide
Où je ne peux plus entrer
dimanche, août 21, 2011
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