Seuls sur ce porche
Nos deux rythmes ne faisaient qu’un
Mes mains sur tes épaules douces
Je regardais ton cou et ta peau
Brune sous la lumière pâle
Je sentais tes doigts glisser sur mes hanches
Et pourtant
vendredi, octobre 21, 2011
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2 commentaires:
Vos poemes me vont tellement.
Flattée qu'il vous plaisent.
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