L’eau du bain noircie
Te rappelle que la vie est longue
Un deux trois quatre cinq
L’eau disparaît mais la crasse reste
Coincée sur la paroi
Tu t’échines mais rien n’y fait
Alors tu fermes la porte de la salle de bains et tu aspires
A une vie meilleure
Mais ils guettent et conspirent dans l’ombre
Ils t’épient des voix s’élèvent
Tu les entends partout
Ils poussent la porte et s’approchent de la baignoire
Où tu es penchée
Le noir laisse place au rouge
Ne t’arrête pas de frotter
vendredi, janvier 20, 2012
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