Longtemps j’ai eu très mal
Je regardais les couples et leurs mains
Les miennes douces pourtant se serraient dans mes poches
Comme je continuais à marcher le long de la Deûle
Mais Noël est arrivé
Le deuxième sans toi
Je ne te cherche plus des yeux
Je ne te reconnais plus dans les rues
Je ne t’appelle plus
Ou presque
Mon cœur s’est arrêté
De saigner
Et ton départ est une cicatrice corolle
Tatouage lumineux que je n’espérais plus
Je regardais les couples et leurs mains
Les miennes douces pourtant se serraient dans mes poches
Comme je continuais à marcher le long de la Deûle
Mais Noël est arrivé
Le deuxième sans toi
Je ne te cherche plus des yeux
Je ne te reconnais plus dans les rues
Je ne t’appelle plus
Ou presque
Mon cœur s’est arrêté
De saigner
Et ton départ est une cicatrice corolle
Tatouage lumineux que je n’espérais plus
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1 commentaire:
Vos textes me touchent, mais celui ci contient des points communs à ma vie.
Je marche dans le prolongement de la Deûle, plus au Nord ou elle devient le canal à Wasquehal.
C'est également mon deuxième Noël sans elle, à part que je l'ai aperçue par hasard, la veille de Noël et qu'elle m'a sourit à travers la vitre de sa voiture.
Cela faisait plus d'un an que je ne l'avais pas vue, et çà m'a suffit pour pour être bien.
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