Le jour où il m’a caressé les cheveux, le jour où sa langue a trouvé la mienne, enfin, le premier janvier de cette année-là, j’ai senti mon cœur chavirer, glisser, s’échapper de ma poitrine. Et cet homme que je croyais connaître était encore plus doux que dans mon souvenir et quand il s’était approché de moi et m’avait demandé en m’embrassant s’il pouvait dormir dans mon lit, j’avais vu dans ses yeux une tendresse que je ne soupçonnais guère.
dimanche, janvier 06, 2013
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