All will end you say for we are doomed
Silently and irrevocably our hands will part
Hoping that I would let you swim in the mud
Vague desires invading your disquieted soul
And I serene strong earthy will know
That your soft hand needs mine
How else would I get my tea?
mardi, novembre 29, 2011
dimanche, novembre 27, 2011
Too slowly
Times passes too slowly
For I eyes wide open wait for the train
That will take me closer to you
And my eyes won't close
Not even for a second
Not even to let me dream of your bright hands
You and I as a whispering fantasy
Sometimes I can't see anything else
But fading visions of lust and fear disappearing
Too slowly
And you my sweet my salty my sour bonbon
You my excruciating bliss
Rest incessantly at the tip of my tongue
For I eyes wide open wait for the train
That will take me closer to you
And my eyes won't close
Not even for a second
Not even to let me dream of your bright hands
You and I as a whispering fantasy
Sometimes I can't see anything else
But fading visions of lust and fear disappearing
Too slowly
And you my sweet my salty my sour bonbon
You my excruciating bliss
Rest incessantly at the tip of my tongue
samedi, novembre 26, 2011
Quand tu pars
Quand tu pars je t’aime plus encore
Le lit s’agrandit mes bras s’allongent
Jusqu’à ton oreiller
Jusqu’à la trace que tu as laissée
Et je dors dans ton souvenir tiède
Et je rêve enveloppée dans les draps froissés
A ton retour
Le lit s’agrandit mes bras s’allongent
Jusqu’à ton oreiller
Jusqu’à la trace que tu as laissée
Et je dors dans ton souvenir tiède
Et je rêve enveloppée dans les draps froissés
A ton retour
vendredi, novembre 25, 2011
mercredi, novembre 23, 2011
mercredi, novembre 16, 2011
La lettre
I received a letter yesterday
M ais j’avais peur de la lire
I did not open it
S ûrement un truc déplaisant
S urely I was not missing much
Y -a-t-il encore du thé dans ma tasse ?
O n such a cold November day
U n chocolat voilà ce qu’il me faudrait
M ais j’avais peur de la lire
I did not open it
S ûrement un truc déplaisant
S urely I was not missing much
Y -a-t-il encore du thé dans ma tasse ?
O n such a cold November day
U n chocolat voilà ce qu’il me faudrait
mardi, novembre 15, 2011
The sweater
You like a warm sweater
Red and fluffy and loving
Cover my arms my shoulders my breasts
On a cold November night
And on my skin I feel the sweat
Running down my burning heart
Red and fluffy and loving
Cover my arms my shoulders my breasts
On a cold November night
And on my skin I feel the sweat
Running down my burning heart
dimanche, novembre 13, 2011
Waiting for you
Waiting for you in my chair
Like a starving cat I cannot purr
Waiting for you with my cup
Like a lonely lady I cannot smile
Waiting for you in my bed
Like a dying soldier I cannot rest
Waiting for you with my pen
Like a sad poet I cannot write
Waiting for you in the rain
Waiting for you on the train
Waiting for you on the plane
Waiting for you again and again
I always will be
Like a starving cat I cannot purr
Waiting for you with my cup
Like a lonely lady I cannot smile
Waiting for you in my bed
Like a dying soldier I cannot rest
Waiting for you with my pen
Like a sad poet I cannot write
Waiting for you in the rain
Waiting for you on the train
Waiting for you on the plane
Waiting for you again and again
I always will be
mercredi, novembre 09, 2011
Ton écharpe
J’ai trouvé ton écharpe hier
Qui traînait dans un tiroir
Celle que tu portais
Le jour où je t’ai rencontré
Le jour où je t’ai aimé
Le jour où tu as parlé
De caisse et d’aspirateur
J’ai trouvé ton écharpe hier
Esseulée dans un placard
Celle qui s’enroulait
Et se déroulait
Dans la lumière de l’hiver
J’ai trouvé ton écharpe hier
Qui pleurait seule dans le noir
Alors je l’ai consolée
Qui traînait dans un tiroir
Celle que tu portais
Le jour où je t’ai rencontré
Le jour où je t’ai aimé
Le jour où tu as parlé
De caisse et d’aspirateur
J’ai trouvé ton écharpe hier
Esseulée dans un placard
Celle qui s’enroulait
Et se déroulait
Dans la lumière de l’hiver
J’ai trouvé ton écharpe hier
Qui pleurait seule dans le noir
Alors je l’ai consolée
dimanche, novembre 06, 2011
samedi, novembre 05, 2011
Il y a des jours comme ça où les mots ne veulent rien dire. On a beau les tourner dans tous les sens, on a beau les regarder sous toutes les coutures, ils sont juste un tas de lettres plus ou moins espacées qui dansent sur la page. Alors on essaie de prendre le rythme, en vain. On boit un café. On mange un kinder. On se dégourdit les jambes. Et on attend, alors même qu’on sait qu’il est inutile d’essayer. On ne peut s’empêcher d’espérer, c’est le propre de la condition humaine.
Je veux te voir
Je veux te voir c’est tout
Je veux embrasser ta joue
Tes yeux et surtout tes oreilles
Longuement
Je veux poser ma main sur ton cœur
Je veux briser l’écran où nos ombres s’agitent
Se cherchent et puis s’évitent
Je veux écouter tes silences
Longuement
Je veux poser ma tête contre ton cœur
Je veux te voir c’est tout
Je veux embrasser ton cou
Tes mains et surtout tes poignets
Longuement
Je veux glisser ma main sur ton coeur
Je veux jeter les mots usés désabusés
Tous les papiers froissés
Je veux caresser tes absences
Longuement
Je veux poser ta main sur mon cœur
Je veux embrasser ta joue
Tes yeux et surtout tes oreilles
Longuement
Je veux poser ma main sur ton cœur
Je veux briser l’écran où nos ombres s’agitent
Se cherchent et puis s’évitent
Je veux écouter tes silences
Longuement
Je veux poser ma tête contre ton cœur
Je veux te voir c’est tout
Je veux embrasser ton cou
Tes mains et surtout tes poignets
Longuement
Je veux glisser ma main sur ton coeur
Je veux jeter les mots usés désabusés
Tous les papiers froissés
Je veux caresser tes absences
Longuement
Je veux poser ta main sur mon cœur
jeudi, novembre 03, 2011
Daydream
Je veux déchirer ton tee-shirt
Je veux le jeter loin du lit
Je veux que tu me prennes sur le bureau
Comme ça
Je veux que tu te taises aussi
Que ta bouche me baise
Encore
Je veux le jeter loin du lit
Je veux que tu me prennes sur le bureau
Comme ça
Je veux que tu te taises aussi
Que ta bouche me baise
Encore
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