vendredi, septembre 11, 2009

Les corps incandescents

La lune croissant rouge à travers les rideaux
Nous chevauchons ce soir des rêves impatients
Vers des terres inconnues et des contrées lointaines
Tes cheveux n'ont jamais été si mystérieux

Les draps glissent et se froissent océan agité
Nous goutons alors aux plaisirs absolus
Qui font les êtres tristes et les souvenirs ardents
Sur ta bouche se dessinent des chemins inventés

Mais le temps
Contre tout conspire et s'acharne

Il me reste à présent un coup au coeur
Et tes bracelets

3 commentaires:

Albertine a dit…

revenez, vos poèmes me manquent

Anonyme a dit…

a nous aussi

Marie Morey a dit…

Moi qui pensais que personne ne les lisait...