vendredi, octobre 21, 2011

La danse

Seuls sur ce porche
Nos deux rythmes ne faisaient qu’un
Mes mains sur tes épaules douces
Je regardais ton cou et ta peau
Brune sous la lumière pâle
Je sentais tes doigts glisser sur mes hanches
Et pourtant

2 commentaires:

Sébastien Ayreault a dit…

Vos poemes me vont tellement.

Marie Morey a dit…

Flattée qu'il vous plaisent.